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Création
Interventions des représentants des différents syndicats et de la Présidente d'EPSU lors de la conférence de création de ce groupement.
Intervention de Christian GROLIER à la 1ère Conférence Européenne des syndicats du Permis de Conduire et de la Sécurité Routière.
Mes chers camarades, mes chers collègues,
C'est un honneur pour le SNICA-FO et les Inspecteurs et Délégués du Permis de Conduire et de la Sécurité Routière d'accueillir en France la 1ère Conférence Européenne des syndicats du permis de conduire et de la sécurité routière.
Je tiens tout d'abord à excuser nos camarades hollandais qui n'ont pas pu se libérer pour être parmi nous.
Depuis 2004, le SNICA-FO a initié des échanges avec ses homologues syndicaux européens grâce au soutien sans faille d'Anne-Marie PERRET, notre camarade et amie, Présidente d'EPSU.
Bien entendu, nous aurions aimé être plus nombreux, mais nous sommes déjà satisfaits de ce 1er rassemblement.
Pour le SNICA-FO, il est temps qu'une structure syndicale européenne spécifique se mette en place pour devenir l'interlocuteur des instances européennes et de la CIECA. Il est devenu impératif d'avoir un rôle de contrepoids et de force de propositions, en particulier lors de négociations sur les directives européennes sur le permis de conduire.
Il est nécessaire que nous puissions réduire les effets néfastes de certaines directives ou que nous puissions les améliorer avant leur publication. Nous savons tous, comme cela est compliqué et difficile, lorsque nous devons réduire les impacts négatifs d'une circulaire lors de sa transposition dans notre droit national.
Notre union renforcera nos syndicats nationaux. Le soutien et l'affiliation à EPSU également.
Pour cette 1ère Conférence, je pense que nous devons d'abord nous organiser et nous structurer. C'est l'objet de la Charte que nous vous avons envoyée et dont nous allons discuter. Nous avons voulu une Charte respectant les valeurs de chacun et garantissant la liberté d'expression de tous les pays, en toute indépendance.
C'est pourquoi, pour ne pas affaiblir ou renforcer un pays, chaque pays membre du Groupement européen aura une voix lors des votes.
Je suis persuadé que nous pourrons avoir de nombreux points de vue communs tant sur la nécessaire harmonisation de l'examen du permis de conduire et son contenu, que dans la nécessité de contrôler les auto-écoles, ou encore de faire de la sécurité routière une norme internationale de l'OIT.
En effet, je tiens à insister sur ce point, au niveau européen, les accidents de la route sont la 1ère cause de mortalité au travail, que ce soit pour se rendre à son travail ou durent les déplacements professionnels. Nous devons donc améliorer la sécurité routière et pour cela renforcer le rôle et la place de l'examen du permis de conduire mais aussi développer le continuum éducatif, de l'enfance jusqu'au post permis.
Les sujets sont nombreux mais notre motivation est grande car la lutte contre l'insécurité routière, c'est sauvegarder nos jeunes qui en sont les principales victimes.
Cet extrait d'une documentation de la Commission Européenne des Transports de 2004 en témoigne :
"La sécurité routière concerne directement la totalité du territoire de l'Union européenne et de ses habitants: dans l'Europe des Quinze, 375 millions d'usagers de la route, dont 200 millions sont détenteurs de permis de conduire, utilisent 200 millions de véhicules sur 4 millions de kilomètres de routes.
La mobilité toujours plus grande se paie au prix fort, puisque, chaque année, 1 300 000 accidents corporels causent plus de 40 000 morts et 1 700 000 blessés. Le coût, direct ou indirect, de cette hécatombe a été évalué à 160 milliards d'euros, soit 2 % du PNB de l'UE."
L'union Européenne s'est donné comme objectif de réduire par 2 le nombre de morts sur les routes européennes à l'échéance 2010.
L'union Européenne encourage à signer la Charte européenne de la Sécurité Routière. Si nous validons ensemble notre charte de fonctionnement et notre motion commune à l'issue de notre Conférence, je vous propose que le Groupement signe la Charte européenne de la Sécurité Routière.
Un dernier mot pour finir et évoquer la situation de l'examen du permis de conduire en France.
Nous sommes dans une situation extrêmement difficile. En France, les inspecteurs et délégués du permis de conduire et de la sécurité routière sont des fonctionnaires d'Etat. A cause d'un sous-effectif chronique, les usagers au permis de conduire attendent plusieurs semaines et dans quelques départements plusieurs mois en cas d'échec au permis de conduire. L'Etat prend prétexte des délais pour envisager une privatisation de l'examen du permis de conduire et déléguer ainsi sa mission de service public.
Nous refusons cette privatisation qui remettrait en cause le statut particulier des IPCSR et DPCSR et ainsi la garantie de leur emploi. De plus, la privatisation entraînerait inévitablement un coût supplémentaire pour l'usager alors qu'en France l'examen du permis de conduire est gratuit.
En même temps, l'Etat français s'est désengagé de l'entretien des routes, transférées aux Collectivités locales et, de fait, de la sécurité routière sur ces routes.
Comme vous pouvez le constater notre nouveau gouvernement et son nouveau Président engagent "au pas de charge" la destruction du service public. Tout cela se fait au prétexte d'économies et de respect des obligations européennes et en particulier des déficits publics ne devant pas dépasser les 3% du PIB.
Ces compressions budgétaires font craindre le pire pour l'avenir de notre République dont les fondements sont la liberté, l'égalité et la fraternité. La fonction publique et le service public sont les piliers qui garantissent l'égalité de traitement des citoyens. Qu'ils soient riches, pauvres, malades, bien portants, de religion ou de races différentes, ils sont traités de la même manière par le service public.
Si le service public disparaît au profit des entreprises privées , donc de la seule rentabilité financière, seuls ceux qui en auront les moyens pourront avoir accès aux soins, à l'instruction, etc.
Ainsi finie l'égalité. Si l'égalité disparaît la fraternité disparaîtra, et avec elle la liberté. Notre République serait alors en danger.
Au SNICA-FO, ce n'est pas notre conception du service public.
Vous le voyez, les sujets difficiles ne manquent pas. Nos expériences réciproques seront d'une grande utilité dans cette période trouble.
Le SNICA-FO va tout faire pour maintenir les IPCSR et DPCSR dans le service public en renforçant nos missions d'examen et de contrôle.
Nous sommes résolument optimistes et déterminés car nous n'avons pas d'autres choix.
Je vais maintenant vous donner la parole . Tout d'abord à Anne-Marie, puis à vous pour avoir votre sentiment sur la création de ce groupement et écouter la situation sociale dans vos pays respectifs.
Je vous remercie.
First conference of ETUG-DLRS, Speech of Steve GRIGOR, United kingdom, PCS
PUBLIC AND COMMERCIAL SERVICES UNION VISION OF ROAD SAFETY IN EUROPE
Save money or save lives?
DSA present Driving Safety Forward as a coherent strategy to achieve real improvements in the grim toll of death & injury that occurs on our roads every year. However, it is clearly more about saving money, as 3 Area Offices have already been closed. And structures have been put in place which seem to be designed to prepare driver testing operations for privatisation. The remainder of DSF proposals comprise of measures that are primarily aimed at not upsetting the electorate than seriously addressing road safety issues.
Recent DSA history
On 25 November 2005, I wrote to Our new Chief Executive, outlining our view of what direction the Agency should adopt to respond to the road safety agenda. Within that we raised the illogic of devoting massive resources to waiting times while ignoring issues that related directly to road safety. Issues like variances in pass rates within Driving Test centres, that we say are caused by lack of examiner training and lack of focus on the Senior Driving Examiner grade which we say should be transformed into a proper line management role. Prior to our new chief Executive's appointment, we had secured agreement from her predecessor for an examiner role review to look at the time pressures examiners are under to get 7 55 minute tests conducted and what measures should be adopted to address that. The Agency seemed to accept the logic of basing management structures on the needs of front line staff. However,we are still waiting for a response to the 25 November 2005 letter and PCS were not engaged in a dialogue about road safety. We remain dismayed that DSA sought not to involve front line examiners in their future road safety strategy. Instead, they have come up with an imposed "top down" approach (Driving Safety Forward) which they have presented to us as the only option for discussion.
External Policy work
Our response to DSA's failure to engage with us has been to take our messages about road safety outside the Agency in an attempt to influence DSA's policies. We have of course established links with SNICA-FO representatives with the help of Anne Marie Perret of EPSU. And our dialogue with European colleagues continues today. We are very much aware that employers are connected through CIECA and it is vital that we as Examiners meet, and exchange views with the aim of influencing European policy.
Alongside this, we continue to work with the mass media to get our messages across to the public about the issues of importance to our members. Recently we have done much work on the problem of assaults on examiners and our contact with French Colleagues has been very instructive, leading to our demand for a change to the way we deliver test results to candidates. While we have not yet achieved issue of results by post, our publicity work has caused the Agency to take notice of the problem and we now have a joint working group looking at the problem of assaults.
A major strand of our strategy to influence DSA has been through Parliamentary work. We have established links with the House of Commons Transport Select Committee and have drafted submissions to it this year on the subject of Novice Driver's. We hope to influence the committee's investigations into the work of the Department for Transport and DSA to keep road safety high in the public consciousness.
Double Standards Agency Campaign has so far seen PCS campaign on
Delegated Examiners - 12 to 1 check tests
Dual Controls
Illegal Number Plates
A launch of the campaign included renaming ceremony - including the Chief Executive who tried to break up our demonstration single handed
DSA's response was to threaten us with the High Court legal action for breach of their copyright via the Roads Minister writing to our General Secretary.
We now have a meeting with the Minister on the 20th November to raise our concerns
PCS vision for road safety
We want a properly conducted Role Review to address examiner's problems with the current test schedule which is extremely tight. This conflicts with the introduction of IT systems in Test centres to facilitate employee self servicing regarding HR, Pay and Expenses functions which all takes more time. Currently, 5 Examiners have to share one PC!
We believe candidates will only train to the level of the test. Therefore the test needs improving to encourage a better level of training.
ADI's need to be professionalised via improved selection, training and ongoing development. We believe that they should also be salaried public servants rather than self employed.
Extra time should be provided for Examiners, ADI's and their candidates to engage in a post test extended debrief. In the UK, this would cost one test per day and would potentially also reduce stress and sick absence among examiners
Need to look at measures to improve services to poorer socio-economic groups who may not be attracted to DSA's voluntary schemes like pass-plus and arrive alive modules. These voluntary measures have no proven statistically significant effect upon road casualties. PCS believes that this group is disproportionately involved in road accidents and are currently ignored by DSA.
We do believe that international experience of Graduated Licensing provides compelling evidence that it can improve new driver safety. Having supported Graduated Licensing in our submission, we were pleased to see the House of Commons Transport Select Committee report on Novice Drivers also recommend that Ministers consider the evidence for implementing GL measures in the UK.
Although the UK Department for Transport is supposed to co-ordinate the work of its' executive agencies like DSA, in practice this does not happen. We continue to call for a joined-up approach where the Department's Agencies co-operate with each other. This fits with our demand for departmental pay instead of the current situation where each Agency pays different salary for the same work.
We also believe it is important that there is better collection and co-ordination of road accident statistics so that these may be more readily used to inform road safety policies. It may be that there is a role for similar co-operation and co-ordination at European level.
We continue to oppose privatisation of the Driving Test. Our belief is that such functions belong within democratically accountable public sector institutions.
Only yesterday we had a meeting with DSA senior officials to discuss what they are doing about road safety in the future. It has taken them 18 months to come up with proposals for road safety. Much is based upon European Directives ,the real problem we believe is that the agenda is driven by money, on how much can be charged to customers, i.e. The general public, Government is unlikely to deliver a penny towards this. DSA is a trading fund it runs on fees paid to it so it is obvious who will pay for the new regulations.
We have consulted during July and August with 24000 PCS civil service members at 1400 meetings across the UK on the need for further action to bring a negotiated settlement. We now ballot our members for strike action and we are confident we will get a yes vote from our 304,000 members on 22nd October when the ballot ends.
So we are poised for strike action to defend public service workers whose Pay is being held down to 2% while inflation is running at over 4%. Along with PCS members, all public service workers in the Post Office, Local government workers, teachers and further education lecturers are being attacked and we hope to take co-ordinated action with them possibly in November.
We are therefore pleased to support the motion setting up the European Trade Union Group for Driving Examiners. PCS welcomes the opportunity to work with colleagues from France, Belgium Luxembourg and Netherlands in order to reduce the death and injury of citizens on our roads.
Intervention de Anne-Marie PERRET, présidente de la FESP, à la 1ère Conférence Européenne des syndicats du Permis de Conduire et de la Sécurité Routière.
Mes cher(e)s Camarades
Je vous apporte le salut fraternel et solidaire de la Fédération Syndicale Européenne des Services Publics (FSESP) et de la Fédération générale des fonctionnaires FORCE OUVRIERE, où j'exerce mon mandat en tant que secrétaire fédérale. Du fait de contraintes d'emploi du temps, Gérard Noguès, Secrétaire général de la FGF-FO m'a demandé de l'excuser auprès de vous et de vous souhaiter plein succès pour votre congrès ainsi que pour l'assemblée générale de demain.
Je suis vraiment heureuse et fière d'être là aujourd'hui avec vous et ce pour au moins 2 raisons : d'abord parce que je n'oublie pas que le SNICA-FO est mon syndicat d'origine, ensuite parce que je suis admirative de ce que vous réalisez en terme de coopération syndicale avec nos collègues d'autres pays de l'Union européenne. La présence et la participation active de nos collègues belges, britanniques et luxembourgeois témoignent de cette volonté de jeter les bases d'un groupement syndical européen des permis de conduire et de la sécurité routière pour porter des revendications communes auprès des instances décisionnelles de l'Union européenne.
Votre initiative montre à quel point l'Europe que l'on croyait lointaine, virtuelle et trop souvent incompréhensible à force de complexité, est bel et bien une réalité tangible qui influence notre vie quotidienne, que ce soit en tant que citoyens, travailleurs, syndicalistes.
De plus, au-delà de la diversité et de la complexité qui caractérisent l'Union européenne, nous voyons bien que nous sommes confrontés aux mêmes problèmes, qu'il nous faut livrer les mêmes combats, relever des défis qui nous sont communs.
Quoi de neuf dans nos pays ? Nos gouvernements, quelle que soit leur couleur politique, suivent des orientations ultra-libérales qui conduisent à l'externalisation, à la privatisation des services publics, à l'abandon des missions par l'administration de l'Etat.
L'Etat… est en mauvais état… il est " devenu impécunieux et impuissant " selon le président Sarkozy. En Belgique, on se demande depuis plus de 4 mois où est passé l'Etat. Au Luxembourg, les fonctionnaires ont connu des jours meilleurs. En Grande Bretagne, on sait le champ de ruines laissé par Madame Thatcher en matière de services publics et d'exercice des droits fondamentaux, notamment du droit syndical.
Partout en Europe, les services publics sont menacés et la fonction publique, bien que ne faisant pas partie des compétences de l'Union européenne, subit les impacts directs ou indirects des réglementations, des décisions prises au niveau communautaire.
Actuellement, dans de nombreux pays d'Europe, ce qui frappe, c'est la similitude des revendications des fonctionnaires et agents publics :
" Arrêt des suppressions d'emplois,
" Augmentation des salaires,
" Maintien et amélioration du pouvoir d'achat,
" Lutte conte la précarité
" Lutte contre la privatisation
" Financements appropriés et bonnes conditions de travail
En France, les dernières annonces sarkoziennes relayées par le premier ministre ne répondent en rien aux revendications salariales des syndicats de fonctionnaires, la question des moyens mis à la disposition de l'administration pour remplir sa mission de service public reste entière et la " modernisation " de la gestion dans la fonction publique passe désormais par le non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux.
Outre-Manche, nos camarades britanniques de PCS sont actuellement en pleine campagne de mobilisation et consultent leurs adhérents sur l'organisation d'une grève qui pourrait avoir lieu en novembre prochain afin de protester contre les suppressions d'emplois, la fermeture de services, des rémunérations qui restent inférieures à l'inflation. PCS demande l'ouverture de négociations avec le gouvernement et les responsables de l'administration.
En tant que syndicalistes, du fait des enjeux et des menaces qui pèsent sur les conditions de vie et de travail des agents que nous représentons, nous ne pouvons pas rester les bras croisés, sans réagir. Nous avons des principes, des valeurs à défendre et à promouvoir, des revendications à faire valoir.
Pour toutes ces raisons, il importe de créer des solidarités transnationales, et c'est ce que nous essayons de faire au sein de notre fédération européenne. Le but est de faire échec aux politiques ultra-libérales prônées par l'Union européenne et de chercher ensemble à remettre en avant la valeur phare qu'est la justice sociale.
Mes chers Camarades,
Sur ces dossiers sensibles, la FSESP se veut à la fois force d'opposition et de proposition. Il ne peut être question pour nous d'assister sans réagir au démantèlement des services publics. Mais il nous faut aussi proposer des stratégies alternatives et développer nos propres revendications. Celles-ci reposent sur les points essentiels suivants :
1. Pour le citoyen, l'Europe ne doit pas se limiter à la libre circulation des biens, des capitaux, des services et des personnes. L'Europe, c'est avoir une vision commune pour la prospérité et le bien-être de tous.
2. Il faut des services publics de qualité pour rendre effectifs les droits fondamentaux du citoyen et atteindre les objectifs de cohésion, d'égalité, de développement durable, d'égalité entre hommes et femmes, d'égalité de traitement des travailleurs et de plein emploi.
3. Les principes qui fondent les services publics - l'universalité, la continuité, l'accessibilité, le contrôle démocratique et la protection de l'usager - sont partagés dans toute l'Europe et font partie de nos valeurs communes.
4. L'Europe doit revoir ses règles de la concurrence pour que les générations futures aient accès à des services publics de qualité fondés sur la solidarité.
Comme vous pouvez le constater, les chantiers sont nombreux et complexes et il nous faut, plus que jamais, fédérer nos actions et nos activités.
Vous avez pris la décision d'œuvrer ensemble en créant le groupement syndical européen des permis de conduire et de la sécurité routière, en rédigeant une charte commune que vous allez diffuser auprès des autres collègues européens, en posant la première pierre visible d'une coopération concrète et ambitieuse.
Au nom de la FSESP, oserais-je vous souhaiter " bonne route " ? oui, car il me semble que c'est vraiment l'encouragement qui s'impose au regard de la profession que vous exercez !
Mes chers Camarades, je vous souhaite - je nous souhaite - bon courage pour l'action syndicale au quotidien. Bonne fin de congrès. Je vous remercie de votre accueil et de votre attention.
Copyright (C). Tous droits réservés. GES-PCSR / ETUG-DLRS dernière mise à jour : le dimanche 25 mai 2014