Article du journal Le Figaro - 28 décembre 2022
Après enquête, on se demande qui a eu l'idée de ces stages discutables qui ne profitent ni à l'État, ni aux conducteurs.
Même les formateurs, souvent des personnes qui viennent trouver un complément de revenus en parallèle de leur véritable métier, se retrouvent à la peine pour enseigner un savoir à des candidats totalement hermétiques.
Manifestement, seul l'organisateur du stage doit y trouver son compte, pécuniairement parlant.
À l'heure où le gouvernement évoque la possibilité de supprimer le retrait de point pour les petits excès de vitesse, il serait temps de revoir le concept de ces stages en profondeur.