La dernière version d'Aurige mise en œuvre mercredi 16 janvier, concrétise enfin une revendication du SNICA-FO datant de mai 2017 (cliquez ici)
Désormais, sur chaque CEPC, seul figure le numéro de matricule de l’inspecteur : son nom n'apparaît plus.
Le SNICA-FO se réjouit de cette avancée. Elle ne représente qu'une petite partie du dispositif que nous défendons pour lutter contre les agressions, mais elle s’ajoute aux revendications qui ont déjà abouti sur ce sujet.
Les nouvelles agressions du 20.01 rappellent que nous devrons continuer de maintenir la pression sur ce dossier, il en va de la sécurité de tous sur les centres d’examen…